En presque 10 ans, la digitalisation des entreprises s’est accélérée, et avec elle, la nécessité de protéger son système d’information et de garantir l’intégrité de ses données. Parce que les attaques informatiques représentent des enjeux colossaux, tant sur le plan monétaire, que de l’espionnage concurrentiel, toutes les entreprises, de toutes tailles et de tout domaine d’activité, sont désormais les cibles quotidiennes des menaces informatiques.
Dans cet article, nous allons vous donner les clés essentielles pour penser la sécurité informatique de votre PME :
- Pourquoi la sécurité informatique est importante, surtout pour une PME
- Un aperçu des cyberattaques qui touchent plus communément les PME
- 10 recommandations essentielles pour mettre en œuvre la sécurité informatique de votre PME et prendre les bonnes décisions.
Pourquoi la sécurité informatique est importante pour les PME
Les TPE et les PME sont la cible privilégiée des pirates
On imagine que les grandes entreprises sont plus fréquemment visées par les attaques de piratage informatique que les petites et les moyennes structures. Ceci est accentué par le fait que les cas de piratages médiatisés concernent généralement des entreprises avec une certaine notoriété. Cependant, ce sont bien les TPE et les PME qui attirent davantage l’attention des pirates, selon l’ANSSI (dans un article paru en 2023).
Cette tendance s’explique facilement, les petites et moyennes structures constituant le maillon le plus vulnérable de l’écosystème.
En effet, elles sont moins bien protégées des attaques informatiques et ne disposent pas toujours de ressources matérielles ou humaines, ni même de budget pour investir dans la sécurité informatique. De plus, en cas d’attaque, notamment d’attaques par ransomware, qui ont désormais le vent en poupe, ces entreprises se trouvent souvent désarmées et ont tendance à payer la rançon plus facilement, contrairement aux grandes structures mieux préparées.
Pour une TPE/ PME, une attaque informatique peut être lourde de conséquences
Une attaque informatique ne se limite pas toujours à un simple piratage de site Internet. Lorsque c’est une boite mail qui a été piratée ou que l’ordinateur d’un employé ou du dirigeant est infecté, c’est tout le système d’information de l’entreprise qui peut être impacté.
Une faille de sécurité, un vol de données ou une attaque informatique peuvent avoir pour l’entreprise des conséquences immédiates dont voici quelques exemples :
- la perte de données sensibles :
Cabinet médical | Compromission des dossiers patients suite à une faille de sécurité, mettant en danger la confidentialité des informations personnelles. |
Studio d’architecture | Conceptions de projets confidentiels volées par des concurrents après une faille de sécurité dans le système de stockage. |
Entreprise e-commerce | Fuite de données de cartes de crédit des clients suite à une cyberattaque, menant à des transactions non autorisées. |
- une paralysie de l’activité de l’entreprise :
Cabinet comptable | Impossibilité d’accéder aux logiciels de comptabilité à cause d’une attaque de malware, retardant les déclarations fiscales des clients |
Entreprise de location de matériel de construction | Impossibilité de traiter les réservations après une cyberattaque qui a compromis le système de réservation en ligne. |
Cabinet d’avocats | Attaque DDoS perturbant la capacité du cabinet à accéder aux systèmes juridiques en ligne et à fournir des conseils à temps. |
- un parc informatique rendu totalement inutilisable :
Entreprise de développement de logiciels | Destruction des serveurs de développement par un malware, provoquant l’arrêt complet des opérations de codage et de tests. |
Société de services financiers | Attaque de rançongiciel qui crypte tous les fichiers et systèmes, empêchant les transactions et les analyses financières. |
Laboratoire de recherche | Attaque de logiciel malveillant qui rend inutilisables tous les ordinateurs de calcul intensif, stoppant net les simulations scientifiques |
Un incident de sécurité informatique peut également avoir des conséquences long terme comme :
- un impact sur la réputation de l’entreprise. Les clients et partenaires, apprenant que leurs données ont été compromises, peuvent perdre confiance en l’entreprise et décider de ne plus traiter avec elle.
- sur le plan juridique, une faille de sécurité ou un vol de données peut entraîner des poursuites judiciaires de la part des personnes concernées. L’entreprise peut être tenue responsable et être condamnée à payer des dommages et intérêts.
- sur le plan technique, les coûts de remise en état du système informatique peuvent être élevés.
- enfin, l’ensemble de ces éléments peuvent entraîner une perte de clients, de chiffre d’affaires et de rentabilité sur le long terme.
Ainsi, les PME sont tout aussi exposées aux risques de cyberattaque. Il est donc vital pour les chefs d’entreprises et les responsables informatiques de mettre en place les bonnes stratégies pour sécuriser le SI de leur structure.
Les menaces informatiques les plus courantes pour les PME
Avant d’entrer dans le sujet de la stratégie de sécurité informatique à mettre en place, faisons une parenthèse sur les principales menaces informatiques les plus courantes pour ces entreprises. (attention, liste non exaustive)
Les attaques qui découlent d’une erreur humaine peuvent se produire chez tous les types de structures, bien évidemment elles se produiront plus souvent chez des structures insuffisamment préparées, comme des TPE ou des PME :
- Le phishing est l’une des toutes premières menaces qui visent les TPE et les PME. Ce type d’attaque consiste à tromper l’utilisateur pour l’amener à communiquer des données qui permettront de réaliser l’attaque informatique proprement dite. Le phishing s’effectue généralement par email, mais peut aussi être réalisé par messagerie, texto, ou encore par téléphone.
- Les ransomwares et les malwares sont des virus qui attaquent les systèmes informatiques. L’infection par le virus peut résulter d’un phishing, mais aussi, d’un clic sur une pop-up, d’une installation de programme, ou encore, d’une visite sur un site Internet infecté.
- Les mots de passe faibles ou facilement devinables, qui facilitent les accès non autorisés aux données sensibles, sont également l’une des principales failles de sécurité des systèmes informatiques des PME.
- Les connexions à des réseaux non sécurisés sont également une faille de sécurité courante dans les systèmes informatiques des PME. Elles se produisent, par exemple, lorsque les employés se connectent à des réseaux Wi-Fi publics ou utilisent des connexions VPN non sécurisées, ce qui peut permettre aux cybercriminels d’intercepter des données sensibles.
Les attaques qui découlent d’un manquement de gestion se produisent plus facilement si l’entreprise n’a pas un service informatique dédié ou si ce service manque de qualifications ou d’expérience.
Ces attaques peuvent résulter de problèmes suivants :
- Gestion insuffisante des droits d’accès et des privilèges des utilisateurs : Ce qui permet aux pirates d’accéder à des informations sensibles ou d’exécuter des actions nuisibles.
- Politique de sécurité faible : On parle de politique de sécurité faible notamment concernant les règles de complexité des mots de passe, les délais d’expiration des sessions et les protocoles de chiffrement
- Gestion inadéquate des correctifs et mises à jour : C’est lorsque l’entreprise n’applique pas régulièrement les correctifs de sécurité et les mises à jour logicielles, ce qui expose les systèmes aux vulnérabilités et aux attaques qui ciblent ces failles.
- Manque de sensibilisation à la sécurité : Si les employés ne sont pas sensibilisés aux bonnes pratiques, ils peuvent involontairement ouvrir la porte à des attaques telles que mentionnées plus haut.
- Manque de vigilance concernant les fournisseurs et les partenaires : Si les partenaires commerciaux ou les fournisseurs externes n’appliquent pas de politiques de sécurité informatique rigoureuses, leurs vulnérabilités pourraient être exploitées pour accéder aux systèmes de l’entreprise.
- Mauvaise configuration des pare-feux et des règles de sécurité
- Gestion inadéquate des données (exemple : absence de chiffrage d’informations sensibles)
- Absence de PCA / PRA ou stratégie de réponse aux incidents inadaptée : L’entreprise peut être dépassée en cas d’attaque si ses procédures sont inadaptées, ce qui peut aggraver les conséquences d’un incident.
Enfin, nous mentionnerons les attaques qui relèvent davantage de la technique et qui visent toutes les structures, de façon indistincte :
- Les attaques par déni de service (DDoS) : qui consistent à submerger un système avec un flux massif de demandes, entraînant son indisponibilité.
- Les attaques de type zero-day : qui tirent parti d’une vulnérabilité non corrigée dans un logiciel, exploitant une faille inconnue et pour laquelle aucune solution n’est encore disponible.
- Les attaques par force brute : qui consistent à essayer de multiples combinaisons de mots de passe jusqu’à ce que la bonne soit trouvée, permettant un accès non autorisé à une ressource.
- Les attaques via des objets connectés : Les objets connectés de l’entreprise peuvent également devenir des vecteurs d’attaques, car leur sécurité est souvent négligée. Des exemples d’objets connectés : une caméra, une imprimante, un badge d’accès, un thermostat ou un éclairage intelligent…
Ainsi, les attaques informatiques qui ciblent les PME et les TPE ne sont généralement pas de simples failles techniques. Elles relèvent plus fréquemment d’une erreur humaine ou d’un problème de gestion informatique, ce qui soulève des enjeux de formation, de prévention et de compétences.
Comment mettre en place une stratégie de sécurité informatique pour sa PME ?
1. Implication de la direction
Dans une PME, l’implication de la direction est souvent plus directe et visible que dans une plus grande structure. En matière de sécurité informatique, l’implication de la direction peut non seulement aider à créer et à maintenir une culture de la sécurité forte, mais également à guider une stratégie de sécurité qui, en dernier ressort, protège les ressources informatiques de l’entreprise. Cette implication permet d’intégrer la sécurité informatique dans la vision et la stratégie globale de l’entreprise.
Ainsi, l’implication de la direction dans la sécurité informatique peut s’exprimer à travers les éléments suivants :
- Allocation de ressources : Les ressources nécessaires doivent être allouées pour mettre en place des mesures de sécurité solides.
- Exemple et culture : La direction doit établir une culture de sécurité en montrant l’exemple et en encourageant l’engagement de tous.
- Partage des responsabilités : Chaque membre de l’entreprise doit être encouragé à prendre part à la responsabilité de la sécurité.
- Amélioration continue : Une évaluation et une mise à jour constante des mesures de sécurité sont nécessaires pour rester efficace.
2. Stratégie rationalisée
Dans une PME, les ressources disponibles, que ce soit en termes de budget, de personnel technique ou de temps, sont souvent plus restreintes par rapport aux grandes entreprises. En effet, alors que les grandes entreprises disposent généralement d’une équipe dédiée à la sécurité informatique et d’un budget pour investir dans des solutions de pointe, les PME doivent souvent faire des choix stratégiques pour protéger leur infrastructure informatique. Cela signifie qu’il est nécessaire de prioriser les investissements et les mesures de sécurité en fonction des besoins spécifiques de l’entreprise.
Les décisions doivent être prises en tenant compte de plusieurs facteurs clés, tels que le niveau de risque, la criticité des actifs informatiques à protéger et le budget disponible. Le but est d’optimiser l’utilisation des ressources limitées disponibles pour assurer le niveau de sécurité le plus élevé possible.
L’objectif n’est pas de disposer d’une sécurité parfaite, ce qui serait irréaliste et coûteux, mais de créer un environnement sécurisé qui soit en adéquation avec les besoins de l’entreprise et qui minimise les risques au maximum.
3. Sélection des outils des partenaires
Une PME doit trouver des solutions de sécurité informatique qui sont adaptées à sa taille et à ses opérations mais aussi, à ses propres limites. En effet, comme elle ne dispose pas forcément en interne des ressources pour faire de la veille sur toutes les évolutions technologiques ou sur les dernières failles de sécurité, il est important de choisir des outils et des partenaires qui intègrent cette veille au sein de leur offre.
Choisir des outils ou des partenaires solides et expérimentés est un moyen efficace de garantir une certaine expertise coté sécurité informatique. Ces partenaires auront ainsi pour responsabilité de veiller à la sécurité informatique de la solution proposée, mais aussi, au respect des évolutions législatives et réglementaires. Par partenaire, on peut ainsi penser à un hébergeur web, une solution logicielle délivrée en mode SAAS ou à un service externalisé dans le Cloud par exemple.
Il est essentiel de vérifier le sérieux et la maturité des outils et partenaires sélectionnés. Une entreprise de renom n’est pas à l’abri d’éventuelles failles ou manquements en matière de sécurité informatique. Il est donc primordial de s’assurer que ces partenaires mettent en place des mesures rigoureuses (sauvegardes, disponibilité, respect RGPD etc…) et continuent à investir dans le renforcement de leur propre sécurité.
4. Formation et sensibilisation du personnel
L’erreur humaine demeurant l’une des principales sources de vulnérabilités informatiques, l’organisation des sessions de formation et de sensibilisation à la sécurité informatique est une opportunité précieuse pour diminuer les risques informatiques.
À la différence des grands groupes, les PME offrent souvent une structure moins complexe et des circuits de communication plus directs. Ceci facilite non seulement la mise en place des formations, mais renforce également l’implémentation d’une culture de la sécurité informatique où chaque employé comprend et assimile son rôle dans la protection des données et des systèmes de l’entreprise.
Ainsi, la taille et la structure des PME leur confèrent des avantages uniques pour la mise en place de formations à la sécurité informatique et l’établissement d’une forte culture de sécurité.
5. Formalisation de la politique de sécurité
Formaliser sa politique de sécurité n’est pas inutile pour une PME. En effet, cette formalisation se traduit par la documentation de cette politique à l’aide de procédures ou d’outils tels qu’une charte informatique ou une charte de télétravail, par exemple.
Ces documents ne sont pas uniquement utiles pour encadrer les règles de l’entreprise. Ils jouent également un rôle clé pour informer les nouveaux arrivants, rappeler les procédures à tous les employés et offrir une certaine forme d’autonomie à chacun. À travers ces outils, les employés sont mieux à même de comprendre leurs responsabilités et de les assumer avec une meilleure autonomie.
La mise en place de ces outils constitue un investissement qui, bien que peut-être initialement perçu comme onéreux, sera rentabilisé en améliorant les processus de l’entreprise sur le long terme. En effet, une meilleure compréhension et une meilleure application des règles de sécurité par les employés permettra d’éviter des incidents pouvant éventuellement se révéler coûteux et permettra de renforcer la résilience informatique de l’entreprise sur le long terme.
6. Limiter les accès et les privilèges
Les menaces à la sécurité informatique pèsent lourdement sur les petites et moyennes entreprises, particulièrement celles disposant de ressources limitées. Un rempart efficace contre ces menaces consiste à minimiser les points d’interaction potentiels avec ces dangers.
Pour réduire ces points d’interaction, une stratégie consiste à restreindre les accès et les privilèges aux seules personnes qui en ont réellement besoin dans le cadre de leurs missions professionnelles. Cette démarche de rationalisation, simple à mettre en œuvre, a pour avantage immédiat de réduire les risques et la surface d’exposition.
Accès restreint aux données sensibles
Le cœur de cette stratégie réside dans le contrôle des accès aux données sensibles. En restreignant l’accès aux données sensibles aux seules personnes habilitées à en faire un usage, on réduit considérablement le risque de fuites d’informations ou d’attaques malveillantes. De plus, cela permet de garantir que seules les personnes autorisées peuvent manipuler ces informations, diminuant ainsi la probabilité d’erreurs humaines.
Le contrôle des accès : une surveillance essentielle
En complément de la limitation des accès, il est également recommandé de mettre en place des contrôles d’accès afin de surveiller l’utilisation de ces données sensibles. Le contrôle permet de s’assurer que les données sont utilisées de manière appropriée et peut aider à détecter toute activité suspecte, contribuant à prévenir les incidents de sécurité.
Ainsi, limiter les accès et contrôler l’utilisation des données sensibles constitue une démarche essentielle pour la sécurité informatique des PME, et ce, d’autant plus que cela reste simple à mettre en place.
7. Définir des procédures de gestion de crise et de PCA/PRA
Chaque entreprise, quelle que soit sa taille ou le niveau de son expertise informatique, devrait idéalement être préparée à l’avance pour faire face à une éventuelle faille de sécurité. Ceci est particulièrement vrai pour les PME, où le service informatique peut être limité ou inexistant. En adoptant des procédures de sécurité informatique, qu’il s’agisse d’une procédure de gestion de crise, d’un PRA (Plan de Retour à l’Activité) ou d’un PCA (Plan de Continuité d’Activité), il s’agit de s’assurer qu’en cas d’incident, les meilleures pratiques seront en place, minimisant le risque d’erreurs critiques. Plus important encore, cela garantit que les ressources nécessaires et le plan d’actions à suivre seront actionnables au moment souhaité. Car, c’est bien connu, les problèmes surgissent toujours au moment le moins opportun.
Imaginez un incident de sécurité informatique survenant un soir, un week-end ou à la veille du départ en congés d’une grande partie des effectifs. La résolution de ce type de problèmes, en dehors des heures de travail, peut s’avérer beaucoup plus compliquée que durant un jour ouvrable normal.
Pour mettre en place ces procédures de gestion de crise, il est possible de faire appel à ses équipes en interne, mais aussi, de recourir à l’aide ou à l’expertise d’un prestataire spécialisé dans ce domaine. Quelle que soit l’approche choisie, il faudra documenter ces procédures et les tester régulièrement pour garantir leur efficacité. À noter que la toute première des procédures, et la plus primordiale, reste la mise en place de sauvegardes informatiques fiables, testées et redondées.
8. Externalisation de la sécurité
Compte tenu du manque potentiel de personnel dédié à la sécurité, de nombreuses PME choisissent d’externaliser certaines fonctions de sécurité, comme la surveillance en temps réel ou l’assistance en cas d’incident. Cela permet également de continuer à rationaliser les investissements humains et matériel tout en bénéficiant d’un niveau de service et d’une expertise élevée.
Cette externalisation peut concerner l’ensemble du système informatique, qui peut être infogéré sur site ou externalisé dans le Cloud, dans les datacenter du prestataire. L’externalisation peut également ne concerner qu’un ou plusieurs aspects de la sécurité informatique tels que :
- La surveillance en temps réel des activités de sécurité et détection d’intrusion
- L’assistance pour l’organisation de formations et de la sensibilisation des salariés
- L’externalisation des services de réponse aux incidents et de récupération après une cyberattaque
En déléguant la sécurité de votre système informatique à un prestataire externe, vous bénéficiez non seulement d’une expertise de pointe, mais aussi d’une tranquillité d’esprit. Vous pouvez vous concentrer sur ce que vous faites de mieux : développer votre entreprise.
Si vous êtes intéressés par ce type de prestations, ne manquez pas nos offres d’accompagnement en sécurité informatique, spécifiquement dimensionnée pour les PME, ainsi que nos offres d’infogérance, qui comprennent bien évidemment une importante couche de sécurité.
En somme, la sécurité informatique joue un rôle déterminant dans la protection des données sensibles de l’entreprise et dans le maintien de la confiance des clients. En observant des pratiques rigoureuses, vous pouvez assurer une protection optimale de votre infrastructure informatique. Il est essentiel de noter qu’aucune des mesures évoquées n’est efficace seule, mais qu’elles doivent être combinées pour créer un système robuste. Enfin, rappelons que la sécurité informatique est un processus continu et non un état. Il est donc crucial d’évaluer régulièrement les systèmes et de mettre à jour les protocoles en fonction de l’évolution des menaces, que vous effectuiez cette tâche en interne ou que vous la déléguiez à un prestataire expert spécialisé.